L'actualité immobilière à Royan
21 Jan

Le prix des maisons poursuit sa croissance à Royan selon les notaires

Comment se comporte le marché immobilier à Royan ces jours-ci ? Les notaires de France publiaient, à ce propos, la semaine dernière  leur toute dernière note de conjoncture trimestrielle. L’occasion de connaître  la tendance  sur la fluctuation des prix et du nombre de transactions dans l’hexagone à la fin du 3e trimestre 2013, mais aussi au coeur de la Côte de Beauté. Première constatation,  les prix des logements anciens en France continuent de baisser. Sur un an, ils diminuent de 1,7% avec notamment une baisse de  1,3% pour les appartements anciens  et un recul de  2 % pour les maisons, selon l’indice Notaires-INSEE publié le 16 janvier dernier. Côté volume, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois en France métropolitaine est estimé à 689 000 par le Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable. Un autre constat, il est en baisse de 6% sur un an et de plus de 16% sur deux ans, mais en hausse de 5% depuis janvier.

Plus près de nous, dans la cité balnéaire de la Charente-Maritime, pour les appartements anciens, le prix du m2 se négociait pour sa part à lui à 2 780  € à l’avant-dernier trimestre de  2013. La tendance à Royan  est toutefois à la baisse, avec un recul de 6,58  % sur un an. Sur le marché du neuf et toujours pour les appartements, le prix moyen de vente du m2  dans la région Poitou-Charente s’inscrivait au 3e trimestre 2013 à 3 740 euros, en hausse quant à  lui aussi de 2,3 % toujours sur un an. Finalement, pour les maisons anciennes toujours au troisième trimestre de 2013, à Royan, le prix médian s’affichait à 264 000 euros en hausse de 14,78 % sur un an. Rappelons qu’il y a deux trimestres, nous relevions également pour les maisons le prix médian à Royan et qu’il  était déjà en hausse de 5,84% et s’affichait chez les notaires à 240 000 euros.

Quels sont les éléments susceptibles d’influencer le marché du logement en 2014 selon les notaires  ? L’accès au crédit aurait connu une reprise en cette fin d’année. Il faut cependant distinguer l’activité de la renégociation, soutenue en raison de taux qui demeurent historiquement bas, pour les nouveaux crédits à l’acquisition. Les établissements nefinancentplus les acquéreurs sans apport personnel, ce qui réduit la demande et influe par voie de conséquence sur les prix. La dynamique des marchés s’en trouve impactée et cela explique pour une bonne part le recul du volume des ventes. Une condition nécessaire à la reprise des ventes en 2014 est que les établissements de crédit assouplissent leurs conditions d’octroi de crédit immobilier.

R.Q. / BazikPress © Cobber17 –  GNUFreeDocumentationLicense

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